Laissons toutes les sensibilités s’exprimer sur les ondes du Tchador, j’entends expurger la musique de l’actualité politico, diplomatie militaire pour conserver le suc artistique, la sensibilité brute et le message s’il est explicite. Pas de jugement ici, de l’écoute seulement.
l est essentiel de reconnaître que ces sociétés ne se résument pas aux images exotiques ou aux clichés souvent véhiculés par l’orientalisme. Elles sont dynamiques, évolutives et influencées par des contextes historiques, politiques et sociaux complexes. Ainsi, la « réalité orientale » dépasse largement les simplifications et les généralisations, reflétant une richesse et une profondeur qui méritent une compréhension nuancée et informée..
Au menu : instrumental libanais, chanteuse iranienne sans tchador, de la pop égyptienne, de l’électro hypnotique, du rock garage iranien instable d’avant la révolution de 1979, de la pulsation dansante et agitée comme je les aime, un contrebassiste israelienne exceptionnel et de la musique andalouse. Que du bonheur !